La grande poétesse Marina Tsvetaeva a toujours été très gentille avec Moscou. Où qu'elle soit, elle était toujours à la recherche d'un moyen de retourner dans sa ville natale. Pour elle, Moscou est l'incarnation d'une maison pour toutes les villes de Russie, c'est un centre hospitalier de la Mère patrie, dans lequel règne un esprit de rébellion et de volonté personnelle. Et Tsvetaeva n'a pas manqué l'occasion d'exprimer son amour pour la capitale à travers ses poèmes.
- "Les nuages sont autour ..." Le poème est adressé à la fille du poète, Ariane, avec l'ordre d'aimer Moscou dans toute sa grandeur et de transmettre ensuite cet héritage à sa fille. Ici, Tsvetaeva glorifie Moscou comme centre de la vie spirituelle, comme ville de cloches. L'amour pour elle doit se transmettre de génération en génération du côté féminin, car Moscou est aussi une femme. Lire…
- "J'ai à Moscou - les dômes brûlent". Tsvetaeva, née Moscovite, après un voyage à Pétersbourg, a décidé de comparer son travail avec les poètes de Saint-Pétersbourg, qui comprenaient Blok et Akhmatova. Dans ce poème, elle se tourne vers Blok, montrant Moscou dans toute sa diversité. Cependant, elle est triste que son chemin avec un autre grand poète, qu'elle a toujours loué, ne converge pas. Lire…
- "Maisons du vieux Moscou". Ce poème parle du passé, déjà impossible à restituer, de la forme originelle de Moscou, complètement effacée avec le temps. Tsvetaeva a toujours cru qu'elle était née au mauvais moment et au mauvais âge, et elle est triste qu'il y ait de moins en moins de vieilles maisons qui reflètent une époque différente. Lire…
- "Hors de mes mains est une ville miraculeuse ...". Ce poème est un cadeau à «l'ami inspiré», que la poétesse «donne» à Moscou. À l'hiver 1916, le poète Osip Mandelstam y est venu avec qui Tsvetaeva a eu une liaison. Elle lui a montré la ville, révélant tout le sacrement régnant en lui. Lire…
- "Passé les tours de nuit ...". Il reflète l'atmosphère de Moscou la nuit. Tout se transforme, acquérant une certaine nuance de folie et fringant, l'amour règne partout. Mais l'héroïne refuse cela, choisissant une «bougie allumée», capable de sauver l'âme. Lire…
- "Au-dessus de la ville rejetée par Peter ...". La cloche qui sonne dans le poème montre la primauté de Moscou parmi d'autres villes. Pas étonnant que Tsvetaeva parle de Pierre le Grand, qui a refusé Moscou comme capitale au nom de Pétersbourg. Elle compare cette situation à ce qui se passera si un homme abandonne une fille après de nombreuses années d'amour. Lire…
- "Sept collines sont comme sept cloches! .." Initialement, le poème de Tsvetaev met l'accent sur le nombre «sept», le liant à quelque chose de suprême, divin. Elle parle également de sa naissance, qui tombe le jour de la mémoire de l'apôtre Jean le théologien. Il passe ensuite en douceur au thème de la mort, qui attend inévitablement tout le monde. Lire…
- "Moscou! - Quel énorme ... ". Beaucoup considèrent ce travail comme le poème principal sur Moscou dans le travail de la poétesse, puisque l'image de la mère majestueuse de toutes les villes est présentée ici. Une maison capable d'abriter tout le monde là où les gens affluent, pour que le chemin le plus éloigné l'illumine. Lire…
- "Le jour viendra - triste, disent-ils! ..". Ce poème est une référence aux temps bibliques sur la résurrection de Jésus-Christ. Et Tsvetaeva elle-même réfléchit à la mort, à la façon dont elle sera escortée en se promenant dans les rues de Moscou. Lire…