Le protagoniste de l'histoire, au nom de laquelle l'histoire est prise, arrive dans la station balnéaire avec l'intention d'y rester longtemps et de profiter pleinement de la paix souhaitée. Il venait de recevoir son doctorat et la jeune femme dont il s'occupait en épousa une autre. Il sent que tout le chapitre de sa vie est laissé pour compte, ce qui lui donne confiance et paix. Mais soudain, une réunion inattendue rompt son plan de prendre une pause des soucis et des soucis. Lors d'une promenade, il voit une jeune femme avec un petit fils et la reconnaît. Voici Frédéric, qui a disparu de sa vie il y a sept ans. Ils se souviennent l'un de l'autre, mais le ton de leur conversation accueillante est tendu: Frédéric cherche clairement à éviter toute communication avec lui. Et le héros perd la tête. La réunion a réveillé en lui des souvenirs interdits de ces jours de sa jeunesse qu'il a passés dans la maison de son professeur, le mari Frédéric. Il se sent à nouveau amoureux d'une femme qui, pendant si longtemps, jusqu'au jour même de son départ de la maison pour le professeur, a traité le jeune homme avec une tendresse maternelle, plus. Mais le jour de son départ, elle a couru dans sa chambre, a couvert le jeune homme de baisers, tombant à ses pieds. À ce moment, une porte s'est ouverte derrière elle, et le jeune homme, stupéfait d'horreur, a vu le visage du professeur. La porte se referma aussitôt. Frédéric se leva d'un bond, paniqué le conduisit hors de la maison et ordonna de s'enfuir immédiatement.
Pendant sept ans, il n'a reçu aucune nouvelle d'elle, et maintenant, s'étant rencontrés par hasard au complexe, ils n'ont pas osé parler de cet épisode. Ils organisent un voyage de voile sur l'île, et il y a une explication entre eux. Frédéric avoue qu'elle l'aimait toutes ces années et reproche au héros de nombreuses années de silence quand elle et son mari attendaient ainsi des nouvelles de lui. Le héros est perplexe: après l'épisode dans la pièce, il a été longtemps tourmenté par la peur de tous ceux qui avaient vu le mari de Frédéric; comment ne comprend-elle pas qu'il ne pouvait pas leur écrire et lui reproche si facilement. Frédéric se demande s'il a compris ce qui l'a poussée à l'envoyer si soudainement, et le héros commence à deviner ce qui s'est passé. Frédéric continue entre-temps: il lui a semblé avoir entendu des bruits de pas devant la porte, mais il n'y avait personne là-bas, et son mari est revenu plusieurs heures après le vol du héros. Alors qu'elle parle, il sent quelque chose de froid dans sa poitrine. Au lieu d'un bien-aimé, le héros voit une femme étrange à côté de lui. Le héros pense au professeur, que Frédéric ne sait pas et n'a jamais su que son mari l'a vue à ses pieds. Il est ensuite parti de façon inaudible et n'est revenu que quelques heures plus tard. Toutes ces années, le professeur vivait à côté d'elle, ne se trahissant pas avec un seul mot. Le héros se rend compte avec horreur que son mari a tout pardonné pour elle et elle traîne toujours le fardeau silencieux de son pardon. Elle cesse soudain d'être juste une femme désirable pour lui, à sa place, il voit un fantôme entouré d'une coquille impénétrable de profond pardon. Et il ne se considère pas autorisé à ouvrir les yeux sur Frédéric, à lui retirer cette horreur. Frédéric ne soupçonne pas ce qui se passe avec le héros et continue de twitter joyeusement sur son amour, puis lui nomme un rendez-vous pour la soirée. Elle prend le silence choqué du héros comme une expression de bonheur, mais il est incapable de regarder son visage. Ce soir-là, il part et dans le train essaie d'imaginer comment elle l'attend au bord de la mer, mais il ne voit pas une femme vivante, mais seulement une ombre éthérée.